Partie siennoise de l’ancienne Val di Chiana ou Valle del Clanis, du nom la rivière Clanis Areticum [1]Le Clanis Aretinum, tel que rapporté par Pline l’Ancien, était une rivière du centre de l’Étrurie provenant de la colline de Chiani à l’ouest d’Arezzo qui, après avoir traversé la vallée du même nom en direction du sud (aujourd’hui Val di Chiana), y compris le lac de Montepulciano et le lac de Chiusi (vestiges de la mer pliocène et dont le zéro … Poursuivre mentionnée par Pline [2]Dans la Naturalis historia, Pline écrit : « Tiberis, antea Thybris appellatus et prius Albula, e media fere longitudine Appennini finibus Arretinorum profluit, tenuis primo nec nisi piscinis corrivatus emissusque navigabilis, sicuti Tinia et Clanis influentes in eum, novenorum ita conceptu dierum, si non adiuvent imbres. » Pline l’Ancien, Naturalis historia, III, 53. « Le … Poursuivre.
- Cetona
- Chianciano Terme
- Chiusi
- Montepulciano
- San Casciano dei Bagni
- Sarteano
- Sinalunga
- Torrita di Siena
- Trequanda
Notes
1↑ | Le Clanis Aretinum, tel que rapporté par Pline l’Ancien, était une rivière du centre de l’Étrurie provenant de la colline de Chiani à l’ouest d’Arezzo qui, après avoir traversé la vallée du même nom en direction du sud (aujourd’hui Val di Chiana), y compris le lac de Montepulciano et le lac de Chiusi (vestiges de la mer pliocène et dont le zéro hydrométrique était à une altitude inférieure à celle d’aujourd’hui), ont rejoint le plan d’eau de la Paglia dans la localité de Ciconia (Orvieto) ; après quoi, le lit de la rivière dans lequel coulent les eaux combinées de la Paglia et du Clanis se jettent dans le Tibre, un peu plus au sud d’Orvieto, où se trouvait le port romain de Pagliano à l’époque romaine. Jusqu’à cent cinquante mille ans, c’était aussi le lit du fleuve Arno, ici je sais que ce dernier a trouvé un nouveau chemin vers la mer. |
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2↑ | Dans la Naturalis historia, Pline écrit :
« Tiberis, antea Thybris appellatus et prius Albula, e media fere longitudine Appennini finibus Arretinorum profluit, tenuis primo nec nisi piscinis corrivatus emissusque navigabilis, sicuti Tinia et Clanis influentes in eum, novenorum ita conceptu dierum, si non adiuvent imbres. » Pline l’Ancien, Naturalis historia, III, 53. « Le Tibre, autrefois appelé Thybris et auparavant l’Albula, coule dans la région d’Arezzo depuis environ le milieu des Apennins, modeste à l’origine, jusqu’à ce qu’il soit canalisé et alimenté par des cours d’eau navigables, tels que le Tinia et le Clanis, qui confluent avec lui en produisant une grande masse d’eau très utile si les pluies n’arrivent pas. » |