Historien et critique grec (1er s. av. J.-C.).
« Professeur de grammaire et de rhétorique à Rome, il contribua, par ses cours et ses traités (entre autres, sur Démosthène et Thucydide), à formaliser la tradition de l’atticisme [1]« Ensemble des qualités de pensée et d’expression propres aux grands écrivains attiques (élégance, finesse, pureté de la langue, propriété et vigueur de l’expression, précision, simplicité, concision, etc. […]. » Portail du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicalew, https://www.cnrtl.fr/definition/atticisme. Dans les Antiquités romaines, dont il reste 11 livres sur 25, il retrace, en en faisant l’éloge, l’histoire de Rome, des origines aux guerres puniques, mêlant aux renseignements factuels, notamment ethnographiques, les débats et les discours fictifs. » [2]Pascal MOUGIN et Karen HADDAD-WOTLING (dir.), Dictionnaire mondial des littératures. Paris, Larousse, 2002.
Notes
1↑ | « Ensemble des qualités de pensée et d’expression propres aux grands écrivains attiques (élégance, finesse, pureté de la langue, propriété et vigueur de l’expression, précision, simplicité, concision, etc. […]. » Portail du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicalew, https://www.cnrtl.fr/definition/atticisme |
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2↑ | Pascal MOUGIN et Karen HADDAD-WOTLING (dir.), Dictionnaire mondial des littératures. Paris, Larousse, 2002. |
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