Assunta

C’est ainsi que la langue italienne, d’une plasticité que ne connaît pas la langue française, nomme la Vierge au moment de son Assomption, ou après celui-ci, c’est-à-dire de l’événement au cours duquel elle aurait été emportée au ciel par une cohorte d’anges.

Le mot italien : Assunta est littéralement intraduisible en français, sinon en l’affadissant et en perdant, au passage, son dynamisme initial, du fait de son remplacement par une périphrase du type : Vierge de l’Assomption.

Voir : Iconographie chrétienne : “Assomption »