Le patibulum [1]Au Moyen Âge, la fourche patibulaire des gibets était constituée d’une traverse de bois fixée horizontalement sur deux, parfois trois, colonnes de pierres, sur laquelle les condamnés à mort étaient pendus et leurs corps abandonnés afin d’être exposés à la vue des passants. Les progrès d’une civilisation en voie de mettre l’humain au centre de ses préoccupations, pas … Poursuivre est la barre transversale de la croix, à laquelle étaient attachés (ou cloués) les poignets du condamné au supplice. Le stipes désigne le poteau vertical de la croix.
Notes
1↑ | Au Moyen Âge, la fourche patibulaire des gibets était constituée d’une traverse de bois fixée horizontalement sur deux, parfois trois, colonnes de pierres, sur laquelle les condamnés à mort étaient pendus et leurs corps abandonnés afin d’être exposés à la vue des passants. Les progrès d’une civilisation en voie de mettre l’humain au centre de ses préoccupations, pas davantage qu’une pensée religieuse devenue omniprésente, n’avaient diminué la cruauté des procédés utilisés, et moins encore envisagé de revoir le principe inexorable d’une telle peine. |
---|
Vous devez vous connecter pour laisser un commentaire.