Dans sa forme, le Thema Mundi consistait essentiellement en une carte représentant le moment où l’univers est né dans un contexte explicitement astrologique.
« Bien que la plupart des doctrines astrologiques fondamentales concernant les relations entre les plantes, le zodiaque et les signes aient été assez bien normalisées au premier siècle avant J.-C., les descriptions et les discussions du Thema Mundi sont remarquablement incohérentes. Ce constat est dû en grande partie à un conflit sur le début de l’année solaire – le Thema Mundi, logiquement, étant basé sur la même astro-mythologie que l’année solaire.
Les Égyptiens plaçaient le début de l’année au solstice d’été et au lever de l’aube de l’étoile Sirius. La tradition gréco-romaine, apparemment basée sur la tradition chaldéenne de l’astrologie, faisait commencer l’année avec l’équinoxe hivernal. D’autres croyaient que l’année commençait lorsque le Soleil se levait à son apogée, ce point le plus éloigné de la terre, dans le signe zodiacal du Lion. Dans les trois traditions, cependant, c’était principalement la position du Soleil par rapport aux signes zodiacaux qui déterminaient le moment où l’année, et par extension, celui où l’univers a commencé. »
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