Horti Leonini

Jardins Leonini

San Quirico d’Orcia.

Ouverture : tous les jours, 08:00–19:30

fullsizeoutput_2c49.jpeg

« […] era “un’isola proibita”, tabù per tutti perché “il Giardino” era chiuso, sempre, per tutti ! Solo per la festa di Settembre […] » [1]« [Le jardin Leonini] était une “île interdite”, taboue pour tous parce que le “jardin” était fermé, toujours, pour tous ! Sauf à la fête de Septembre […] » C. SANI, C’era una volta San Quirico, p. 80.

Cliquer pour accéder à 469-PP-AP-GG-RST-002-A-RELAZIONE-STORICA.pdf

Certaines inscriptions de goût classique placées dans le parc célèbrent les beautés de l’otium et de la vie à la campagne. Ces inscriptions transcrites par Ugo Sani, rapportées dans le texte de Patricia McCobb [2]P. Mc Cobb, Un giardino rinascimentale a San Quirico d’Orcia, San Quirico d’Orcia, edizioni donchisciotte, 2010. sont les suivantes : « PEREGRINO LABORE FESSI VENIMUS LAREM AD NOSTRUM » [3]« fatigués d’errer, nous sommes arrivés à notre foyer », Catulle, Carme, 31. ; « HAUD VILES PULLI NATI FELICIBUS OVIS » [4]« pas de pauvres poussins nés d’œufs heureux », libre adaptation de Juvénal, Satires, 13. ; « HIC VITABIS AESTUS » [5]« ici vous éviterez la chaleur » Horace, Odes, 1, 1.17. ; « HIC VER ASSIDUUM » [6]« ici, c’est toujours le printemps » Virgile, Géorgiques, II, 149. ; « HIC SECURA QUIES ET NESCIA FALLERE VITA » [7]« il y a ici un calme sûr et une vie sans tromperies », libre adaptation de Virgile, Géorgiques, II, 467).

Notes

Notes
1 « [Le jardin Leonini] était une “île interdite”, taboue pour tous parce que le “jardin” était fermé, toujours, pour tous ! Sauf à la fête de Septembre […] » C. SANI, C’era una volta San Quirico, p. 80.
2 P. Mc Cobb, Un giardino rinascimentale a San Quirico d’Orcia, San Quirico d’Orcia, edizioni donchisciotte, 2010.
3 « fatigués d’errer, nous sommes arrivés à notre foyer », Catulle, Carme, 31.
4 « pas de pauvres poussins nés d’œufs heureux », libre adaptation de Juvénal, Satires, 13.
5 « ici vous éviterez la chaleur » Horace, Odes, 1, 1.17.
6 « ici, c’est toujours le printemps » Virgile, Géorgiques, II, 149.
7 « il y a ici un calme sûr et une vie sans tromperies », libre adaptation de Virgile, Géorgiques, II, 467).