Luca

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Simone Martini, « Saint Luke (Saint Luc) », 1330. Tempéra et or sur panneau, 67,5 x 48,3cm. Los Angeles, The J. Paul Guetty Museum.

Luc, disciple du Christ [1]Le qualificatif d’Apôtre, dont il est parfois gratifié, est impropre puisqu’il n’a pas connu le Christ. et « auteur, selon la tradition, du troisième Évangile canonique et des Actes des Apôtres. Il était probablement d’Antioche et disciple de Paul qu’il accompagna à Rome. L’Evangile de Luc, sans doute écrit autour de 80 ap. J.-C. est celui des actes synoptiques qui est le mieux écrit en grec, auxquels il ajoute une narration détaillée de la naissance de Jésus, ainsi que quelques paraboles. Les Actes des apôtres racontent les premières années de la vie de l’Église et la diffusion du christianisme parmi les hébreux et les païens de l’Empire romain » (Treccani. Enciclopedia on line).

« Ce Luc était médecin. Après l’Ascension du Christ, Paul l’ayant pris pour second à cause de sa connaissance du droit, il écrivit avec son assentiment ce qu’il jugeait bon. Cependant lui non plus ne vit pas le Seigneur dans la chair. Et par conséquent, selon ce dont il avait pu s’informer, il commença à le dire à partir de la Nativité de Jean ». (Canon ou Fragment de Muratori [2]Le fragment dit « de Muratori », du nom de Ludovico Antonio Muratori (1662 – 1750), historien italien qui l’a découvert à la Bibliothèque ambrosienne de Milan, et l’a publié en 1740, est un manuscrit romain datant du milieu du second siècle. Ce document contient une discussion sur les livres de foi acceptés par les Églises. … Poursuivre).

ICONOGRAPHIE

C’est par le symbole du bœuf qu’il est représenté dans la figure du Tétramorphe.

Notes

Notes
1 Le qualificatif d’Apôtre, dont il est parfois gratifié, est impropre puisqu’il n’a pas connu le Christ.
2 Le fragment dit « de Muratori », du nom de Ludovico Antonio Muratori (1662 – 1750), historien italien qui l’a découvert à la Bibliothèque ambrosienne de Milan, et l’a publié en 1740, est un manuscrit romain datant du milieu du second siècle. Ce document contient une discussion sur les livres de foi acceptés par les Églises. Quatre autres fragments du Canon ont été trouvés en 1897 dans des manuscrits des XIe et XIIe siècles conservés dans la bibliothèque du Mont-Cassin.